Histoire
Let's go walk in the woodsLa grande et majestueuse forêt de Sherwood, près du village d'Edwinstowe en Angleterre, était connu de part les mondes, emplis de mystères et de légendes via le célèbre Robin des Bois ou encore à cause de son chêne, Major Oak, qui était âgé entre 800 et 1000 ans. D'ailleurs, on racontait du côté des faunes, que cet arbre avait été planté, il y avait fort longtemps par un des premier de l'espèce qui en avait fait sa demeure. Mais depuis que les humains faisaient leur appropriation, nul faune ne serait assez fou pour en faire son terrier.
Zhuti était né à Sherwood, dans le terrier de sa mère. Nul père à l'horizon, mais c'était une chose des plus communes pour cette race. Le père n'était qu'un "donateur" et en soit Zhuti n'aurait aucun type de lien avec. Sa mère était sa mère et il n'avait pas besoin d'autre parent. Pendant les six premiers mois, grandissant comme s'il se passait six ans, Zhuti apprenait beaucoup de chose. Que cela soit les règles de survies élémentaires, comme le fait de se débrouiller avec sa magie. Il apprenait, de ce fait, à parler en langue faune, proche du Gaélique.
Ce fut une période plutôt calme où petit à petit, Zhuti apprenait à se débrouiller tout seul. Et même s'il était encore jeune et enfant, il était venu l'heure fatidique de l'abandon. En effet, la nature devant faire sa sélection de la loi du plus fort, Zhuti devait être laisser plus ou moins seul. Ainsi donc, sa mère l'avait laissé dans un troupeau de cervidés. Sa venue avait été rapidement accepté et son premier rôle était donc de protéger le dit troupeau de la chasse ou tout du moins prévenir du danger.
The Monstrosities of Lady LysUn piège bien organisé, Zhuti était visé. C'était une surprise complète. Bien sûr sa mère lui avait appris que des chasseurs pouvaient roder, mais il ne s'était pas attendu à en être la cible. Il avait simplement trouvé des friandises qu'il n'avait jamais goûter, mais qui étaient fortes délicieuses. Si délicieuse que le somnifère l'avait rapidement emporté. Attraper par des braconniers sorciers à l'esprit dompter par les gallions qu'une Dame s'appelant Lys leur offrirait si on lui apportait un jeune faune.
Dame Lys était une sorcière anglaise ayant dans sa malette magique tout un freak show. Facile à transporter d'un pays à l'autre, bien qu'elle puisse avoir ses préférences ainsi donc elle n'allait que dans 7 pays: Royaume-uni, Allemagne, Pologne, Roumanie, Italie, France, Espagne. Bien sûr, elle changeait de villes ou de villages, côté sorciers pour limiter la casse. Elle était assez habiles pour jouer avec les lois et passer crème, après tout ce n'était que des employés. Un cirque. Elle donnait une chance à des êtres d'avoir un boulot, bon elle ne les payait juste pas tous. La plupart de ceux-ci étaient des sorciers avec des difformités, que cela soit de naissance ou à la suite d'un accident magique. Les autres étaient des centaures et des faunes, dont les couleurs étaient souvent modifier juste pour paraître exotique. Ainsi, Dame Lys pouvait modeler l'histoire et la crudilité des spectateurs pour faire croire tout et n'importe quoi.
Mise à part les présentation malsaines et rabaissantes qu'on lui donnait, sa prestation était autour de la danse, de la musique et des plantes - le sol étant aménagé -. De plus, il n'était jamais seul devant tous ses yeux, les autres faunes plus vieux que lui étaient là aussi. Ils avaient été là pour le consoler quand Dame Lys avait souhaité modifier son nez pour qu'il puisse faire plus chèvre. Un procéder, peu orthodoxe, afin d'empêcher sa régénération de bien fonctionner. Ainsi cette dernière était convaincu que ses narines s'ouvraient de cette façon !
Dame Lys voulait bien traité ses créatures et ils avaient un espace aménager dans la malette. Un semblant de forêt. Mais, ce n'était pas suffisant. Loin de là. Contraint de vivre dans la malette, aucun n'avait le droit de sortir sauf pour une représentation nocturne. Avec leur régénération, les employés n'avaient pas à prendre de pincettes et ils étaient souvent des défouloirs. L'ambiance était souvent morose et les centaures essayaient de divertir les faunes, sachant que leur cousins pouvaient se laisser mourir. Zhuti avait dû aussi apprendre la langue anglaise car Dame Lys refusait d'entendre la langue des faunes.
An island of paradiseEn 2010, force des braconnages vis-à-vis des faunes -utilisé le plus souvent pour approcher des créatures dangereuses-, les divers gouvernements s'étaient mit d'accord, initialiser par un certain Geronimo Cortazar, pour les mettre dans les espèces à protéger et en collaboration officielle avec les Magizoologistes. Ainsi donc, l'homme était devenu le sauveur des créatures de Lady Lys.
Mais que faire à présent que Zhuti retrouvait la lueur du vrai soleil et non celui artificiel ? Où aller ? L'île du Paon avait été une solution adéquate et Geronimo s'en était assuré, permettant l'insertion des centaures comme des faunes. Mais si les centaures s'étaient trouvés un coin pour essayer de vivre en troupeau, les faunes s'étaient plutôt séparés. Chacun devait trouvé sa place et s'y installé à son rythme. Les faunes ne vivaient pas en troupeau justement afin que chacun puisse évoluer sans se forcer à être au même rythme que les autres. Zhuti écoutait simplement les besoins de son corps et ne se calquait donc que sur celui-ci.
Pendant les premiers mois, rare étaient les mages de l'île à apercevoir le museau de Zhuti. Celui-ci se cachait d'eux et préférait passer du temps auprès des créatures. Mais de temps en temps, il se retrouvait à assister, malgré lui, les magizoologistes. Et au fur et à mesure, Zhuti se cachait moins ou échangeait quelques mots, puis des conversations complètes et des apprentissages, comme lors des visites surprises de Geronimo. La lecture et l'écriture avaient été des portes ouvertes à de nouveaux horizons. Néanmoins, s'il ne se montrait plus aussi avare en conversation, il gardait de la distance avec les visiteurs.
Find his placePeu après ses 18 ans, Zhuti avait perdu ses cornes et son statut d'adolescent, devenant ainsi un adulte. Ses nouvelles cornes à la taille réduite, dévoilait au grand jour ses préférences en matière de partenaire. Cependant, il n'avait goûter à cette passion particulière pour la première fois qu'aux alentours de l'éclipse solaire suivante, soit du 2 juillet 2019. Les faunes l'avaient initiés à la fête des Amours dans la clairière qui leur étaient réserver lors de la pleine lune. Bien que dans ce dernier cas, des invités pouvaient se faire, là le contexte était bien différent. Isolement obligatoire pour les faunes adultes durant les 7 jours et 7 nuits précédent l'éclipse. Cela permettait ainsi aux faunes d'être tranquille à leur fête et à leurs amusement non chastes qui n'étaient pas à être espionner par les sorciers.
Chaque vision de l'amour était différente, celle des faunes l'était tout autant. Par exemple, les faunes de l'île étaient presque tous ensemble selon les préférences et affinités de chacun. Certains se rapprochaient même de la sorte avec les centaures et humains. Zhuti aussi pouvait se raccrocher aux autres espèces intelligentes de la sorte. Les faunes étaient sûrement les êtres les moins jaloux qui puissent exister !
En dehors de sa vie sentimentale pour le moins remplis, Zhuti avait commencé à prendre ses aises dans les serres de botanique. Récupérant les savoir théoriques sur les dites plantes, Zhuti avait finit par être considéré comme un botaniste à son tour après quelques années en tant qu'apprentis. Il obtenait bien sûr une rémunération au même titre que pour son rôle d'asistance auprès des magizoologistes. Mais, il n'avait pas besoin de grand chose et naturellement il faisait des dons à l'île ou encore offrait des cadeaux aux magizoologistes et botanistes. Alors, quand il était décidé à aller faire des emplettes, il trouvait toujours quelqu'un pour l'accompagner. Il ne pouvait y aller seul pour deux raisons: il ne pouvait pas transplaner sur de longue distance et il avait besoin de sortilèges particuliers s'il fallait passer par des endroits moldus, notemment pour le protéger de la pollution et pour que les moldus ne soient pas trop intriguer.
Sa vie était ainsi rythmer par un quotidien plus ou moins calme qui rassurait Zhuti. Il avait trouver une place, la sienne parmi tant d'autres !