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Luz Salamanca
Iguane Troublant
Iguane Troublant
Points : 69
Messages : 39
Date d'inscription : 04/11/2023
Message Sujet: Luz Salamanca Luz Salamanca EmptyURL DU MESSAGE - Sam 30 Mar 2024 - 17:39

Luz Salamanca
feat Florence Pugh

  • 19 novembre 1615
  • 409 ans (27 à sa mort)
  • Savante de son vivant, elle hante actuellement un bar de Madrid. Elle est aussi présidente de l'association des fantômes d'Espagne.
  • Franco-grecque (mais elle fait comme si elle était espagnole)
  • Européennes
  • Madrid
  • Fantôme
  • Bisexuelle
  • Décédée
  • Bois de frêne, plume de phénix, 31 centimètres
  • Aucun, paraît-il
  • La salamandre
  • Une tombe à son nom
  • Une foule de soldats, armés, chantant, avec des marrées d'alcool

Physique & Caractère

Vous vous croyez malins à me poser cette question ? A quoi je ressemble ? Je suis un fantôme, évidemment que je suis grise et transparente. Je suis un fantôme, évidemment que je porte toujours les mêmes vêtements troués comme à ma mort parce que personne n’a voulu échanger. Je suis un fantôme, évidemment que je suis pleine de blessures qui ne cicatriseront jamais.

J’aurais voulu être punk. Les vivants de cette époque ont de la chance. Quand j’étais vivante, j’avais des cheveux bruns clairs, un visage bronzé par le soleil espagnol, et des yeux verts foncés. Il y en avait même eu quelques-uns pour écrire des sonnets (sans originalité) sur la douceur de mes lèvres. J’avais l’air soit beaucoup trop enthousiaste, soit complètement blasée, il n’y avait pas de juste milieu. Mais peu importe tout cela, vu que je suis un fantôme, maintenant.

Quant à mon caractère, je dois avouer que je l’ai plutôt mauvais. J’ai du mal à être patiente avec les autres, j’ai beau essayer, ils m’apparaissent le plus souvent comme de gros empotés. Surtout les sorciers que j’ai rencontré hors du Cercle de Salamanque, ceux-là sont rarement les baguettes les plus affinées de la boutique. Ils sont si lent à comprendre ce que je leur dis… Et ils m’ennuient… Je ne me remets peu en question, mais je crois que j’ai plutôt raison. Les autres ont des esprits bornés. Mais par contre, je suis très passionnée, et quand je me lance dans quelque chose, je ne lâche rien. Je sais ce que je veux, et je suis méthode pour arriver au résultat. Quand ma sœur et ses enfants, et leurs propres enfants, étaient encore en vie, j’étais très dévouée, très proche d’eux, toujours là pour leur donner des conseils… et les sermonner quand il fallait. J’aime le bien vivre, la compagnie, réfléchir… Mais je crois que j’ai fait le tour de l’existence spectrale.

J’adorais l’aventure dans le temps, mais depuis des ans, je n’ai plus eu l’illusion d’avoir un cœur battant.

Histoire

Vous connaissez tous mon nom.

Pas « Luz Salamanca », bien sûr. Ce nom, c’est juste une petite fantaisie que je me suis offerte, quand je me suis rendue compte, environ 200 ans après ma mort, que j’étais vraiment un fantôme. Jusqu’alors, je ne m’étais pas réellement aperçue de ce que cela signifiait. Vous me direz, pour quelqu’un qui a fait le choix de rester en arrière à Samhain, avec beaucoup trop d’alcool dans le sang, c’était peut-être le temps nécessaire pour que, dans mon corps translucide, l’ivresse se dissipe.
Telle que je me présente, je n’ai pas l’air d’être une lumière. Pourtant, dans ma vie, j’étais brillante – la la plus jeune résidente permanente du Cercle de Salamanque, la coqueluche des esprits excentriques des universitaires sorciers du Siècle d’or.

Oui vous connaissez tous mon nom, si tant est que vous ayez été un peu attentif aux vos manuels d’histoire de la magie et de sortilège. Le Cercle de Salamanque, constitué en 1515, actif jusqu’en 1729, le point de convergence des savants sorciers d’Europe et du Moyen-Orient, la source majeure d’influence et de rénovation des savoirs magiques de la Renaissance, c’est bien à celui-ci que je fais référence. Vous savez, à cette époque, le monde sorcier n’était pas encore aussi hermétiquement séparé du monde moldu. Nous vivions dans l’ombre, cachions nos pouvoirs… mais nous partagions des lieux, des places, certains d’entre nous circulaient de cour en cour – et j’insiste biens sur le « certains ». Quelques générations de sorciers s’étaient éduqués aux sciences moldus à l’Université de Salamanque, et s’étaient mis en tête de fonder une réelle communauté scientifique avancée, dans les sous-sols et des pièces cachées du bâtiment – le tout grâce à des sorts renforcés par l’arithmancie pour dissimuler nos activités. Le Cercle de Salamanque était un lieu de vie très libre, unique en son genre… tout sorcier pouvait venir, partager la vie des savants résidents, rester, repartir, revenir, quel que soit son âge, son genre, son origine… Oh, cela ne convenait pas à tous, et beaucoup on parfois essayé de décrédibiliser ou de détruire le Cercle, qui s’affranchissait allégrement des traditions. Mais il est toujours difficile de se jouer d’autant de cerveaux brillants rassemblés… Parmi les prestigieux noms rattachés au cercle, donc, Dorian Starwhisper, Emeric Fireheart, Rafiq Al-Hazim, Cassius Lysander, Alejandro Xenophon, Catalina Rojas…. Eh bien vous pourrez trouver le mien, Lucie Sotirakis.

Vous connaissez tous mon nom, l’un des seuls des nombreuses femmes du Cercle à avoir traversé les temps et à être demandé en interro… par une des nombreuses injustices de l’histoire qui touche celles de notre genre… mais vous êtes très peu nombreux à connaître mes découvertes, perdues pour une grande majorité à tout jamais lors de l’incendie de la Grande Bibliothèque sorcière de Salamanque en 1819. Une fantôme, ça ne peut pas écrire.

Mes parents, un français, une grecque, se sont rencontrés à l’académie Beauxbâtons, alors récemment ouverte. Duellistes, ils avaient été invités pour une compétition, et l’opposition avait visiblement généré une attirance. Ils n’avaient pas vraiment prévu d’avoir des enfants, mais à cette époque, les sorciers n’étaient pas plus doués que les moldus pour contrôler les naissances… donc je suis née, deux ans plus après un petit frère, qui aura succombé à une épidémie de dragoncelle, et encore plus tard, ma sœur, Noemi.

J’avais douze ans, et Noemi trois, lorsque mes parents ont décidé de s’installer à Salamanque, et nous ont récupéré de chez nos grands-parents, installés à Florence. C’étaient eux qui nous avaient principalement élevés, mes parents n’étant vraiment pas très intéressés par la compagnie d’enfants en bas-âge. Mais je commençais à avoir l’âge de conversations intéressantes, et mes grands-parents ont pensé que mes parents avaient l’âge de se responsabiliser… Salamanque était loin, les réseaux de Portoloin encore aléatoires, alors ils les avaient mis au pied du mur.

Heureusement pour eux, ce ne fût pas très compliqué de nous élever, moi et Noemi, dans un lieu fourmillant de chercheurs et chercheuses du plus haut niveau. Ils n’avaient pas besoin de beaucoup s’impliquer. Je pouvais apprendre à lire et à compter à Noemi, et je recevais tous les enseignements dont j’avais besoin en passant de la salle de cours et recherche des uns à celles des autres. Il n’y avait pas beaucoup d’autres enfants, mais je m’entendais bien avec eux, et je passais beaucoup de temps dans leur famille, traînant Noemi derrière moi. J’avais l’impression d’avoir quatre-cinq couples de parents adoptifs, et ça me convenait très bien.

Le Cercle de Salamanque, c’était chez moi. J’adorais cette vie, les personnes que je rencontrais. J’avais l’impression de pouvoir être qui je voulais, alors que quand j’avais passé une année à Beauxbâtons avant d’arriver, c’était toujours les « tiens-toi bien », « mets donc cette robe de trois kilomètres de circonférence », « une fille ne court pas », « fais un peu plus d’effort pour apprendre cette valse, un jour cela t’aidera à trouver un mari ». Alors quand j’avais quinze ans, mes parents ont décidé de repartir, cette fois pour aller en Russie, je leur ai dit que je ne viendrais pas. En plus, à cette époque, j’étais complètement amoureuse d’un jeune chercheur qui vivait au Cercle depuis un an, et j’étais persuadée de vouloir vivre le reste de ma vie avec lui. (Notre relation cessa au bout de deux mois, en plus, c’était un complet imbécile qui ne comprenait jamais rien à mes projets). En plus, je ne voulais pas vivre dans un pays où il faisait froid. Et quant à Noemi, à 5 ans, son « chez elle », c’était moi. Elle pleurait tellement dès qu’elle était à plus de 100 mètres de moi que mes parents me la laissèrent.

Ils partirent, et nous restâmes. Je me considérais maintenant comme une adulte. Cela dit, à ce stade, vous auriez compris que tous ces adultes qui m’entouraient étaient complètement irresponsables, et vous ne seriez pas trop surpris d’apprendre que je suivais leur exemple – c’était bien la preuve que j’étais encore, en réalité, une adolescente. Je ne supportais cependant absolument pas qu’on me le dise, et la moindre remise en question de mon indépendance. Et ce n’était pas parce que j’avais mis feu à notre chambre que je ne pouvais pas vivre seule avec une enfant de six ans, de toute façon je l’avais éteint en moins de cinq minutes.

A dix-sept ans, je trouvais comment stabiliser systématiquement des Portoloin par des formules arithmantiques (un peu par hasard, je l’avoue, parce que ce n’était pas du tout ce que je cherchais à faire). Cette « avancée majeure pour les sciences magiques » me valut une place de résidente permanente au Cercle – l’enfant prodige était officiellement devenue une savante. Je publiais un premier traité de métaphysique magique à dix-neuf ans, et fus invitée régulièrement dans les écoles de magie qui se montaient en Europe et au Moyen-Orient. Pour l’argent, je faisais des objets enchantés, qui devinrent une marque. Cela se vendait bien. Vous en trouverez sûrement encore chez les antiquaires magiques. Bon, certains objets, il vaudrait mieux pas que vous vous en approchiez… Parce que cela ne me déplaisait pas d’expérimenter avec la soi-disant « magie noire ». On m’admirait, j’adorais. Soit j’emmenais Noemi avec moi, soit je l’amenai pour quelques jours chez mes grands-parents. J’avais cessé depuis longtemps de répondre aux lettres de parents (ils n’avaient qu’à venir et rester, s’ils voulaient une relation avec nous). Je rencontrais des savants et savantes moldues aussi, parfois, avec les quelques porosités qui subsistaient entre nos mondes. Au fil des années, il y en avait un certain nombre, avec qui nous avions été plus intimes… mais personne avec qui j’ai eu l’envie de rester.

Ma vie était pleine d’excès. Je considérais que je n’avais aucune raison de m’imposer des limites, et il n’y avait pas grand monde autour de moi pour essayer. Vous avez compris à ce stade, que tout génie que j’étais,  je prenais beaucoup de décisions stupides. La pire d’entre elle arriva un soir de Samhain, j’avais encore vingt-sept ans, bientôt vingt-huit. A cette époque, je travaillais beaucoup sur un projet de transplanage bi-dimensionnel, dans le temps et dans l’espace. Il n’y avait aucune raison pour que cela ne soit pas possible. J’avais même réussi à le faire, transplaner en reculant de quelques dizaines de minutes, et il y avait beaucoup de potentiel. Cela m’était venu, après avoir travaillé sur la reconstruction sur plan d’un retourneur de temps antique. Le problème, c’est que je n’arrivais pas, quand je sautais dans le temps, à maintenir une maîtrise sur l’espace. J’arrivais n’importe où. Et l’ampleur des décalages était proportionnelle avec l’ampleur des sauts. Mais ce soir là, j’avais décidé d’épater l’assistance, en reculant dans le temps d’une heure, et en en fournissant la preuve – une idée qui avait du me venir après mon sixième verre d’absinthe. J’étais ivre à n’en plus toucher terre.

La preuve de mon cerveau exceptionnel, l’expérience avait marché (même si personne ne l'aura jamais su officiellement)… pour le saut dans le temps… mais pas pour la maîtrise de l’espace… je suis arrivée de nulle part, au milieu de la garnison moldue, avec les soldats en pleine festivité, tous ayant bu autant que moi, aux superstitions aiguisées pendant cette journée spéciale… Oui, avec mes tenues qui n’avaient rien à voir avec celles des femmes de l’époque, avec des motifs animés, mes objets étranges, en train de hurler de rire parce que j’avais réussi, juste avant de découvrir les histoires autour de moi… J’ai été leur plus grande peur. Et, oh, cela ne s’était pas bien passé.

Je n’avais aucune envie de mourir. J’avais plein de projet à terminer, j’étais sûre que Morgana pourrait terminer les travaux avec moi si je lui dictais les meilleures idées, je voulais voir ce qui allait se passer dans ce monde… et surtout, Noemi avait besoin de moi. Elle était enceinte, son fiancé moldu mort du choléra trois semaines plus tôt, et je lui avais promis qu’on élèverait son enfant toutes les deux. J’étais morte comme une personne irresponsable, mais je savais bien que je n’avais pas le droit de l’être. Je n’avais pas la moindre conscience de ce que cela voulait dire, de rester en arrière, et je n’hésitais pas une seule seconde. Hey, ce n’était pas grave : j’étais morte, mais je restais là, donc ça n’avait aucune importance, pas vrai ? Ce n’était pas si dérangeant de mourir ! Pourquoi les gens en faisaient tout un plat ?

Que n’avais-je pas bu ces fichus verres ce jour-là…

Il se passa deux mois avant que ma pauvre sœur put avoir une explication à peu près cohérente ce qui s’était passé – j’étais bien trop ivre à ma renaissance comme fantôme… après, soit mon organisme « évacua » un peu, soit je m’habituais. En tous cas, je redevins à peu près fonctionnelle, dans un déni euphorique, sans comprendre les regards catastrophés de mes amis, amants, amantes, qui me voyaient devenir fantôme.

J’étais assez honnête quand je disais tout à l’heure qu’il a fallu 200 ans pour que l’ivresse se dissipe. La vie de fantôme ne m’a pas déplu, quand j’ai pu accompagner ma sœur, rigoler avec mes autres amis chercheurs, leur dicter des travaux, leur hurler dessus quand ils faisaient n’importe quoi, voir ma nièce grandir… J’avais toujours des moyens de gagner de l’argent… J’ai suivi partout dans le monde ma sœur qui a voyagé, jusqu’à la grande maison madrilène qu’elle acheta à la fin de sa vie… Sa mort fût une douleur immense, mais elle m’avait fait promettre de veiller sur sa propre fille, ce que je fis. Et celle-ci m’avait souvent demandé de veiller sur ses deux enfants, que je connaissais bien, ils m’adoraient… J’étais la grande-tante la plus cool au monde, je pouvais même traverser les murs. Bon l’émerveillement était un peu passé quand ils avaient grandi, mais ils me demandaient souvent conseil. J’étais de plus en plus nostalgique, mais je partais dans tous les sens, je ne m’étais pas encore rendue compte que ma vie n’avait pas de fin, même si je pestais sur quelques particularités de la vie fantôme. Je me moquais des fantômes des écoles, qui se lamentaient sur leur sort.

Puis, quelques générations plus tard, je ne connaissais plus assez les descendants. Ils étaient trop nombreux, partout dans le monde, je les encombrais… et surtout, plus personne ne venait dans la vieille maison madrilène… leur vie était ailleurs. Mais moi, je ne pouvais pas partir. C’était là où ma sœur s’était attachée, des restes de son âme restaient là, et quelques ancrages de ma vie aussi, les quelques écrits et objets rescapés de l’incendie. Je ne pouvais pas me détacher de ces lieux. Alors ce fût la dépression. Une grande et longue dépression.

Et un jour, un bar s’installa en face de la rue, et de rage, j’allais m’y installer, exigeant un verre de whisky pur feu, immédiatement. Bien sûr que je ne pus pas le boire, parce que j’étais UN PUTAIN DE FANTÔME. ET QUE PERSONNE N’AVAIT EU LE BON SENS D’INVENTER UNE DROGUE POUR LES FANTÔMES, MERDE !
Je veillais sur la maison (tous les sorciers de Madrid ont une peur panique de « La Maison des Enfers »), mais je finis par passer presque tout mon temps au bar. Au bout d’une vingtaine d’années, je finis par m’intéresser à ce que j’observais. Puis une vingtaine d’année plus tard, je compris que je devais maintenant vivre ma vie avec les autres comme moi, les autres fantômes. Je rebondissais… un petit peu. Et j’organisais dans le bar (peu importe l’avis des propriétaires), les réunions des fantômes de Madrid. Jusqu’à devenir la présidente de l’association des fantômes d’Espagne. (Plutôt sympa, le dernier propriétaire d’ailleurs, le petit Alvaro…).

Je déteste être un fantôme, je n’en peux plus, c’est insupportable. Qu’est-ce que je voudrais changer de vêtement, je ne les supporte plus… et de coupe de cheveux… On arrive à faire du troc avec les autres fantômes, mais leurs fringues sont encore plus moches… pitié que je croise la route d’une jeune fantôme avec du goût et un amour de l’époque renaissance pour échanger…

Je n’ai pas vraiment le choix… J’essaie de soudoyer des bons sorciers pour qu’ils fassent des inventions pour rendre la situation des fantômes plus supportables, j’ai plein d’idées… Parfois le jeunot, le patron du bar, veut bien écrire des lettres pour moi, c’est déjà ça…
Créé par Iguane Troublant
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Message Sujet: Re: Luz Salamanca Luz Salamanca EmptyURL DU MESSAGE - Dim 31 Mar 2024 - 20:15
... j'ai totalement chouiné. Je veux la caliner. 1225131605


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Message Sujet: Re: Luz Salamanca Luz Salamanca EmptyURL DU MESSAGE - Dim 31 Mar 2024 - 21:19

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Je dois t'avouer que je n'y croyais plus 2893680894 2893680894 2893680894 2893680894 2893680894 2893680894 2893680894

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